Marianne James fait face à une vague de désabonnements après avoir critiqué ouvertement le Rassemblement National sur les réseaux sociaux. Crédit photo : Europe 1 Marianne James se lâche sur Instagram (1/12) La suite en page suivante Dans un post sur Instagram, accompagné d'une illustration satirique, Marianne James a critiqué les électeurs du Rassemblement National, multipliant les qualificatifs insultants : "bas de plafond", "stupides", et "bêtes à bouffer du foin". © TF1 Une vague de désabonnements (2/12) Cette sortie franche a immédiatement provoqué un torrent de réponses négatives et une vague de désabonnements sur ses comptes sociaux. La suite en page suivante © TF1 "Je me suis fait défoncer par des gens très très énervés" (3/12) Dans sa vidéo de réponse, Marianne James n'a pas reculé d'un pouce. "Hello les amis, vous avez vu mon dernier post ? Le nombre de réactions, le nombre de critiques, je me suis fait défoncer par des gens très très énervés", a-t-elle déclaré, soulignant son droit à exprimer ses opinions politiques sans filtre. © TF1 Marianne James sans filtre (4/12) Elle a confirmé qu'elle ne soutiendrait pas le RN, décrivant le parti comme ayant des racines dans le fascisme et la collaboration, des idées qu'elle estime partagées uniquement par les "personnes ignares". La suite en page suivante © Europe 1 Marianne James s'en prend à Jordan Bardella (5/12) Jordan Bardella, figure montante du RN, n'a pas été épargné par les critiques acerbes de Marianne James. Elle a décrit le président du parti comme ayant une façade séduisante mais averti que "le diable se cache dans les détails". © RTL Quelles limites pour la liberté d'expression ? (6/12) Cette déclaration, loin d'apaiser les tensions, pose la question des limites de la libre expression et l'influence des personnalités publiques dans le paysage politique. La suite en page suivante © TF1 Des réactions très mitigées sur les réseaux sociaux (7/12) La réaction des internautes n'a pas été unanime. Alors que certains ont applaudi son courage de parler franchement, d'autres l'ont accusée de diviser davantage une France déjà fracturée politiquement. © TF1 "Ouf ! On respire mieux" (8/12) La chanteuse de 62 ans a exprimé une certaine satisfaction vis-à-vis des désabonnements, les considérant comme un soupir de soulagement. Pour elle, c'est une question de principe : "Ouf ! On respire mieux", a-t-elle ironisé. La suite en page suivante © Europe 1 Des personnalités publiques scrutées de près (9/12) Cette affaire illustre un phénomène plus large. Les personnalités publiques sont de plus en plus scrutées pour leurs prises de position politiques. © France TV Marianne James assume ses propos (10/12) Marianne James n'est pas la première ni la dernière à être confrontée à la réaction virulente de ses abonnés suite à une déclaration controversée. La suite en page suivante © Europe 1 Un climat politique tendu (11/12) Dans un climat politique tendu, chaque mot compte et peut déclencher des réactions en chaîne sur les réseaux sociaux. © France TV Marianne James ne recule pas devant la polémique (12/12) Marianne James a choisi de ne pas reculer devant la polémique. Elle a utilisé sa plateforme pour exprimer ses convictions profondes, même si cela a impliqué des conséquences pour sa réputation. © M6 Marianne James, célèbre chanteuse et ancienne jurée de Nouvelle Star, s'est retrouvée au cœur d'une controverse après avoir pris position contre le Rassemblement National (RN) sur les réseaux sociaux. Son commentaire a déclenché une cascade de réactions. La France est plus que jamais divisée à l'approche des élections. Marianne James se lâche sur Instagram Dans un post sur Instagram, accompagné d'une illustration satirique, Marianne James a critiqué les électeurs du Rassemblement National, multipliant les qualificatifs insultants : "bas de plafond", "stupides", et "bêtes à bouffer du foin". Cette sortie franche a immédiatement provoqué un torrent de réponses négatives et une vague de désabonnements sur ses réseaux sociaux. Dans sa vidéo de réponse, Marianne James n'a pas reculé d'un pouce. "Hello les amis, vous avez vu mon dernier post ? Le nombre de réactions, le nombre de critiques, je me suis fait défoncer par des gens très très énervés", a-t-elle déclaré, soulignant son droit à exprimer ses opinions politiques sans filtre. Elle a confirmé qu'elle ne soutiendrait pas le RN, décrivant le parti comme ayant des racines dans le fascisme et la collaboration, des idées qu'elle estime partagées uniquement par les "personnes ignares". Des réactions très mitigées sur les réseaux sociaux Jordan Bardella, figure montante du RN, n'a pas été épargné par les critiques acerbes de Marianne James. Elle a décrit le président du parti comme ayant une façade séduisante mais averti que "le diable se cache dans les détails". Cette déclaration, loin d'apaiser les tensions, pose la question des limites de la libre expression et l'influence des personnalités publiques dans le paysage politique. La réaction des internautes n'a pas été unanime. Alors que certains ont applaudi son courage de parler franchement, d'autres l'ont accusée de diviser davantage une France déjà fracturée politiquement. La chanteuse de 62 ans a exprimé une certaine satisfaction vis-à-vis des désabonnements, les considérant comme un soupir de soulagement. Pour elle, c'est une question de principe : "Ouf ! On respire mieux", a-t-elle ironisé. Marianne James assume ses propos Cette affaire illustre un phénomène plus large. Les personnalités publiques sont de plus en plus scrutées pour leurs prises de position politiques. Marianne James n'est pas la première ni la dernière à être confrontée à la réaction virulente de ses abonnés suite à une déclaration controversée. Dans un climat politique tendu, chaque mot compte et peut déclencher des réactions en chaîne sur les réseaux sociaux. Marianne James a choisi de ne pas reculer devant la polémique. Elle a utilisé sa plateforme pour exprimer ses convictions profondes, même si cela a impliqué des conséquences pour sa réputation. “Faîtes-nous un cours !” : Jordan Bardella lapidaire face à Gabriel Attal, Gilles Bouleau serre la vis Le débat sur les enjeux des législatives entre Jordan Bardella et Gabriel Attal a été très tendu. Le tout animé par Gilles Bouleau. Au cours du débat en marge des législatives sur TF1 ce 25 juin, Jordan Bardella a lancé plusieurs pics à Gabriel Attal, qui ne s’est pas laissé faire. Gilles Bouleau a alors dû intervenir. Le grand débat de TF1 en vue des élections législatives Ce mardi 25 juin, TF1 organisait un grand débat entre les trois représentants des blocs en tête des législatives. Anne-Claire Coudray et Gilles Bouleau ont donc accueilli en plateau Jordan Bardella, Manuel Bompard et Gabriel Attal. Les représentants partis ont alors évoqué plusieurs sujets phares de leur programme et sur lesquels les Français les attendent. Gabriel Attal a repris Jordan Bardella sur les chiffres qu’il avançait sur le coût de la baisse de la TVA. Le président du Rassemblement national a alors attaqué le Premier ministre. Jordan Bardella, Gabriel Attal et Manuel Bompard parlent pouvoir d’achat Ce mardi 25 juin, Gilles Bouleau et Anne-Claire Coudray recevaient sur TF1 les trois représentants des blocs en tête des sondages pour les législatives. Manuel Bompard, Gabriel Attal et Jordan Bardella ont alors exposé leurs mesures en faveur du pouvoir d’achat des Français. Le président du Rassemblement national s’est exprimé en premier et s’est présenté comme le futur "Premier ministre du pouvoir d'achat". Jordan Bardella a annoncé vouloir baisser la TVA à 5,5% sur l’énergie, le gaz, l’électricité, les carburants et le fioul. Le coordinateur de La France insoumise et représentant du Nouveau Front populaire, Manuel Bompard, vise quant à lui le blocage des prix de produits de première nécessité. Gabriel Attal a rétorqué, en déclarant "ne pas avoir envie de faire croire à la Lune" aux Français. Le Premier ministre propose de son côté de baisser les prix de l'électricité de 15% "dès l'hiver prochain". Mais l’ancien militant du Parti socialiste en a aussi profité pour contester les chiffres avancés par le Rassemblement national et le coût de la baisse de la TVA sur l'énergie proposée par le parti. "Allez-y, faîtes-nous un cours d'économie": Jordan Bardella attaque Gabriel Attal sur la TVA "La mesure que vous proposez, c'est pas 12 milliards par an, c'est 17 milliards par an", a lancé le Premier ministre à Jordan Bardella. Puis, Gabriel Attal ajoute : "Vous savez combien rapporte la TVA sur les produits énergétiques chaque année ?". Jordan Bardella, visiblement pris au piège, lâche alors : "Allez-y, faîtes-nous un cours d'économie M. le Premier ministre aux 1.000 milliards d'euros de dettes". Les journalistes reprennent alors le candidat d’extrême-droite, pour laisser la parole à Gabriel Attal. Chaque candidat s’est ensuite exprimé sur la question des salaires. Jordan Bardella s’en est une nouvelle fois pris à Gabriel Attal au sujet de mesures prises par son gouvernement. Le Premier ministre a alors aussitôt réagi, laissant place à une discussion inaudible entre eux deux. Gilles Bouleau a décidé d’intervenir. "Vous parlez d’abord tous en même temps, il faut que nous avancions pour la clarté du débat". Puis le journaliste a demandé à ses invités de partir sur le sujet de la réforme des retraites, qui a profondément divisé les Français.