Entre son engagement dans son métier et ses choix de consommation responsables, les confidences de l’acteur témoignent d’une réflexion profonde sur sa place dans la société et l’impact de ses actions.
Dans une interview exclusive pour l’émission On refait la télé sur RTL, Gérard Jugnot, à 71 ans, s’était livré à des confidences sur sa « petite retraite ». Alors que la réforme des retraites secouait la France, le célèbre acteur Gérard Jugnot se livrait sur le sujet lors de son passage dans l’émission On refait la télé sur RTL, le samedi 4 février 2023. Tandis que 2,5 millions de personnes exprimaient leur mécontentement dans les rues, Gérarg Jugnot, 71 ans, partage sa vision de la situation, affirmant comprendre les préoccupations de ceux exerçant des métiers éprouvants.
Avec une passion débordante pour son métier, semblable à celle d’Évelyne Dhéliat pour la présentation météo, Gérard Jugnot a exprimé son indéfectible attachement à son art, le cinéma. « Il faudra qu’on m’arrête« , a-t-il déclaré, avant d’ajouter « Dans les métiers de passion, la retraite correspond à la retraite de Russie, à la débâcle« . Il a aussi dit toucher sa retraite, insuffisante selon lui : « Une petite retraite par rapport à ce que j’ai donné« .
Au-delà de ces réflexions sur sa carrière et la retraite, Gérard Jugnot s’est également confié sur ses habitudes de consommation. Dans une interview accordée à Télé Star le 20 septembre 2021, l’acteur avait évoqué sa façon de dépenser sa retraite avec une certaine éthique. Priorisant le confort et la responsabilité, il se tourne volontiers vers des marques françaises et des produits bio locaux, une manière pour lui de conjuguer plaisir personnel et soutien à l’économie locale.
L’aspect familial n’est pas en reste dans les préoccupations de Gérard Jugnot, qui a abordé l’éducation de son fils, Arthur. Loin de vouloir le plonger dans un monde de privations pour lui enseigner la valeur du travail, l’acteur a plutôt choisi de lui inculquer l’importance de la persévérance et de l’effort personnel.
« Je ne manquais de rien. Je n’allais pas l’obliger à manger des pâtes tous les jours et à loger dans une chambre de bonne pour lui inculquer le goût de l’effort. Je lui ai en revanche inculqué que les plus grandes satisfactions de sa vie viennent de son propre travail, de sa persévérance, pas du tout du privilège d’être fils de…« .
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